R.I.P Repse Ici Paisiblement

Une chance que le trajet était court, cette chasseuse pesait plus qu’il n’y paraissait. Eëryth apparut au milieu d’une petite maisonnette. L’endroit était charmant, loin de ce qu’on se serait attendu de la part d’une habitation construite au milieu d’un cimetière. La sorcière déposa la jeune femme dans son lit et dépose une petite fiole semblable à celle qu’elle avait utilisé avec le vampire et qui contenait un liquide claire et violet. Elle laissa une petite note agrémenté d’une écriture stylée et serrée.

« La douleur à dût vous sonner sacrément. J’ai beaucoup aimé notre rencontre. À votre réveil vous risquez d’avoir un sacré mal de tête, buvez une cuillère à soupe d’Ylfine. (Le liquide dans la fiole) Reposez-vous bien, je vous promet un adversaire digne de vous.

Eëryth Vriath, sorcière. »

La jeune femme soupira et se dirigea vers la porte.

-Pourquoi je n’arrive pas à être comme ça lorsque je parle à quelqu’un…

Elle s’assied et pris son aise dans la petite cuisine. Une bonne tisane, elle se fabriqua en quelques secondes de nouveaux habits, puisque ses anciens étaient restés dans le manoir. Elle enfila une grande robe noire qui finissait à la mi-cuisse et elle enfila des pantalons trois-quarts noir en dessous. Elle enfila aussi une camisole avec un décolleté assez invitant, la chaleur de l’été se faisait sentir même la nuit.. Eëryth s’affaira ensuite à entretenir un petit jardin dans la cour, les morts étaient extrêmement efficaces comme engrais. Elle fini par rentrer à nouveau, couverte de sueur, mais elle se retint de prendre une douche. Elle ramassa ses affaires dans un sac et amorçât le repas et jeta un petit sort afin qu’il reste à bonne température lorsque la chasseuse se réveillera.

-Oh ! Pendant que j’y pense !

Elle marmonna quelques paroles latines afin d’enlever le sort qui avait stoppé ses visions. C’est à ce moment qu’elle entendit la voix du vampire dans sa tête accompagner d’un cillement désagréable.

-Déjà ? Son sourire s’élargit. Eh bien, on m’appel, j’accours. Au revoir, jeune chasseuse. Lança-t-elle à la demoiselle inconsciente avant de disparaître de la même façon que la dernière fois avec une volute de fumée.